Peuple.2022











TEXTILE

Broderie à la main, 35 x 35 Cm, 2021

Broderie à la main, 32 x 50 cm, 2020


En souvenir de …
Broderie à la main, 30 x 30 cm, 2020
COMFORTABLET

Fauteuil recouvert de plaquette de médicaments, 2019
Cette œuvre a nécessité le recueil pendant toute une année, des blisters de médicaments de certains patients avec lesquels l’artiste était en contact. Ce fauteuil appartient à une série de mes travaux dans lesquels l’enjeu était d’utiliser des blisters de comprimés, des déchets non-recyclables. Des jours de sédation, des siècles de pollution !
Sans Terre (2017-2021)
http://galerie.autourdelimage.fr/expositions/sans-terre/

MonoPrint et Coudre sur Papier, 50 x 70 cm, 2021

MonoPrint et Coudre sur Papier, 100 x 70 cm, 2021

MonoPrint et Coudre sur Papier, 100 x 70 cm, 2021

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

30 x 38 cm, 2018

Encre sur Papier , 50x 63 cm, 2017

Triage couleur et Sparadraps collés sur carton, 31 x 41.5 cm, 2019

Triage couleur et Sparadraps collés sur carton, 31 x 41.5 cm, 2019





Triage couleur et Sparadraps collés sur carton, 31 x 41.5 cm, 2019






Ghazaleh Bahiraie, artiste Iranienne de la génération de l’après-guerre iran-irak (1980-88), n’a vécu ni la révolution de 1979, ni l’expérience de cette guerre. Mais elle a grandi dans un contexte social déchiré par la guerre, et dans une société encore marquée par son horreur. Pour une artiste comme elle, la guerre est donc une préoccupation permanente.
Les séries qu’elle présente dans cette exposition montrent comment la guerre a affecté de différentes façons même les enfants pas encore nés, nous donnent à sentir son omniprésence, où que nous nous trouvions.
Chaque série des œuvres exposées est un dialogue intérieur entre deux moitiés de son existence : Celle de son éducation en Iran et l’autre de sa vie actuelle en France. Certaines de ses œuvres sont consacrées à l’immigration dont elle traduit les dures réalités.
Les œuvres de Gazaleh Bahiraie sont créées avec des techniques simples, tout comme l’est sa présentation visuelle. Mais cette simplicité des apparences donne accès au sens profond de ces œuvres. Elle parle de la laideur de la guerre, mais sans montrer sa violence. Elle peint la dureté et la douleur de l’exil forcé.
Mina FESHANGCHI
Sans Tracas (2013-2015)
https://www.360cities.net/image/aaran-art-gallery-sep-2015-ghazaleh-bahiraie-hassle-free-03-tehran

Photo imprimée sur plaquette, 100 x 150 cm, 2014

Photo imprimée sur plaquette, 100 x 150 cm, 2014









En ville de la série de Sans Tracas ,Encre sur Papier,18 x 30 Cm, 2015

sur Papier transparent, Néon ,60 x 90 Cm, 2015


En ville de la série de Sans Tracas, Stylo Encre, Feutre sur Calque, Impression
sur Papier transparent, Néon ,30 x 40 Cm, 2015
Il n’est pas facile ou « sans tracas » de parler de Téhéran, il n’y a pas non plus de fin. Il y a le caché et l’évident, la cause et le remède : tout est entrelacé. Dans le labyrinthe de cette ville et dans la répétition de ses cycles, la vie est turbulente et transitoire. Les dessins en noir et blanc sont les cycles de la vie. Banque, hôpital, gare, théâtre : ce sont tous des pixels du paysage de la ville. Vide et dépourvu de couleur et en même temps réel. Les noirs et les blancs sont des fragments de la ville, de ce qui est rappelé et de ce qui est permanent, de ce qui, en l’absence de couleur et de son, semble immobile. Silence et immobilité de ce qui est irréel et délirant.
En dessinant la ville, j’ai tenté de réussir à en parler. J’ai cherché un remède et j’ai découvert que les couleurs doivent être redonnées à la ville et que, dans le royaume de la monotonie, les taches de couleur les plus minuscules doivent être chéries.
Dans la maison les noirs et les blancs sont présents, mais ils évoluent autour d’un « petit baiser », ils rappellent que ni le noir ni le blanc n’existent dans la nature. C’est un indice du fait que quand vous regardez correctement, les couleurs reviennent et sont suivies par le désir, l’espoir et les rêves. Dans chaque coin je cherche des baisers colorés, des sirènes et le bleu de la mer. Je crois en la continuité des rêves et des désirs.
Selection de Dessin (2014-2020)





Encre sur Papier , 30×40 cm, 2019

Encre sur Papier , 30×40 cm, 2019

Encre sur Papier , 30×40 cm, 2019

Encre sur Papier , 35×50 cm, 2019

Encre sur Papier , 35×50 cm, 2019









MARCHE.2012
https://vimeo.com/51779086 https://vimeo.com/51779087 https://vimeo.com/51779088





Marche. Three channel video. 2:20 minutes. 2012

Noirs et Blancs (2009-2010)



Sans Titre de la série des Noirs et Blancs ,Triptyque ,Encre sur Papier, 100×210 cm, 2010



Sans Titre de la série des Noirs et Blancs , ,Encre sur Papier , 50×70 cm, 2010
Noir et blanc est une série qui a été créée en 2009, l’une des années les plus noires et les plus blanches de l’histoire iranienne. C’était ma première série sérieuse alors que j’étais encore étudiante. L’atmosphère qui a suivi les élections, les manifestations et les événements de cette période ont eu un rôle dans la formation de cette série. Elle comprend environ 40 œuvres. Certains d’entre elles ont été exposées dans la chaufferie de la Mohcen Gallery à Téhéran. Je considère les quatre œuvres que je présente ici comme faisant partie des meilleures de la série…